« Nous revendiquons le terme étymologique, nous sommes fiers d’être des épiciers et souhaitons redonner à ce métier ses lettres de noblesse. »
Étymologiquement, l'épicier est une personne qui a un rapport avec les épices.
Dans le passé il désignait le marchand d’épices.
Au Moyen Âge, l'épicier était à la deuxième place dans la hiérarchie des métiers parisiens, il ne vendait que des épices et c’est à partir du XVIIIème siècle que son activité de vente se diversifie.
Ces spécialistes, au fil du temps, sont devenus des généralistes vendant des produits de piètre qualité et aujourd’hui le terme « épicier » est devenu péjoratif.
« Je suis un chasseur de goûts,
un sourceur de saveurs, un épicurien,
un amoureux de la vie et des plaisirs
de la table, exigeant et généreux. »
Depuis mon enfance rurale, ma vie est bercée par la recherche perpétuelle de saveurs authentiques, que ce soit au détour d’un potager, d’une balade en forêt, des allées arpentées de marchés locaux, d’une criée, d’un fournil de bon matin, des cuisines de nos grands-mères ou mamans, des fourneaux de vrais maîtres cuisiniers… ou encore de voyages à travers la planète.
Je suis de ceux qui sont amateurs et avides de sensations nouvelles, de senteurs, de textures, de flaveurs, non pas pour se les approprier si ce n’est, au contraire, pour les faire partager.
J’aime à conter et raconter les merveilles qui nous entourent et la passion d’hommes et de femmes qui n’ont de cesse de donner le meilleur d’eux même pour vous proposer l’exceptionnel.
Mon objectif : sourcer le meilleur, l’exclusif, l’authentique, le surprenant puis le narrer, le partager, le transmettre, le sublimer…
Depuis plusieurs mois nous avons mis en commun nos compétences, et avons cherché des produits d'une qualité insoupçonnable avec la même philosophie : recherche des produits directement sur les lieux de production, refus de tout traitement chimique aussi bien sur la plante que sur le produit et a fortiori toute irradiation (hypocritement appelée ionisation), veiller à ce que les personnes travaillant dans ces plantations travaillent dans des conditions optimales, exiger de nombreux tris pour ne garder que les grains ou baies d'exception, refuser tout stockage long et acheminer les produits sans intermédiaire, c'est-à-dire avec une traçabilité maximale.
« Nous revendiquons le terme étymologique, nous sommes fiers d’être des épiciers et souhaitons redonner à ce métier ses lettres de noblesse. »
Étymologiquement, l'épicier est une personne qui a un rapport avec les épices.
Dans le passé il désignait le marchand d’épices.
Au Moyen Âge, l'épicier était à la deuxième place dans la hiérarchie des métiers parisiens, il ne vendait que des épices et c’est à partir du XVIIIème siècle que son activité de vente se diversifie.
Ces spécialistes, au fil du temps, sont devenus des généralistes vendant des produits de piètre qualité et aujourd’hui le terme « épicier » est devenu péjoratif.
« Je suis un chasseur de goûts,
un sourceur de saveurs, un épicurien,
un amoureux de la vie et des plaisirs
de la table, exigeant et généreux. »
Depuis mon enfance rurale, ma vie est bercée par la recherche perpétuelle de saveurs authentiques, que ce soit au détour d’un potager, d’une balade en forêt, des allées arpentées de marchés locaux, d’une criée, d’un fournil de bon matin, des cuisines de nos grands-mères ou mamans, des fourneaux de vrais maîtres cuisiniers… ou encore de voyages à travers la planète.
Je suis de ceux qui sont amateurs et avides de sensations nouvelles, de senteurs, de textures, de flaveurs, non pas pour se les approprier si ce n’est, au contraire, pour les faire partager.
J’aime à conter et raconter les merveilles qui nous entourent et la passion d’hommes et de femmes qui n’ont de cesse de donner le meilleur d’eux même pour vous proposer l’exceptionnel.
Mon objectif : sourcer le meilleur, l’exclusif, l’authentique, le surprenant puis le narrer, le partager, le transmettre, le sublimer…
Depuis plusieurs mois nous avons mis en commun nos compétences, et avons cherché des produits d'une qualité insoupçonnable avec la même philosophie : recherche des produits directement sur les lieux de production, refus de tout traitement chimique aussi bien sur la plante que sur le produit et a fortiori toute irradiation (hypocritement appelée ionisation), veiller à ce que les personnes travaillant dans ces plantations travaillent dans des conditions optimales, exiger de nombreux tris pour ne garder que les grains ou baies d'exception, refuser tout stockage long et acheminer les produits sans intermédiaire, c'est-à-dire avec une traçabilité maximale.